top of page
Image de Ed Robertson

Documentation

Les Soins Palliatifs : "Tout ce qui reste à faire quand il n'y a plus rien à faire"

Ce sont des soins actifs et continus pratiqués par une équipe interdisciplinaire, en institution ou à domicile. Ils visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne malade et à soutenir son entourage.

-> voir le site de la SFAP (Société Française d'Accompagnement et de soins Palliatifs)

-> voir le film "Vivre le temps qu'il nous reste à vivre"



 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Directives Anticipées et la Personne de Confiance :

Toute personne majeure peut, si elle le souhaite, écrire ses directives anticipées qui préciseront ses souhaits concernant sa fin de vie (du point de vue médical) et désigner une personne de confiance qui pourra l'accompagner dans ses démarches de soins...
Ce document permettra au médecin, le moment venu, de prendre sa décision.

Pour en savoir plus :

https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2016-03/directives_anticipees.pdf
 


Fin de vie et loi Claeys-Léonetti :  

La loi du 9 juin 1999 vise à garantir le droit d’accès pour tous au soulagement de la douleur et à des soins palliatifs en fin de vie.

La loi de 2005, dite loi Leonetti et première loi spécifique à la fin de vie, introduit l’interdiction de l’obstination déraisonnable et rend possible la rédaction de directives anticipées et la désignation d'une personne de confiance.

Le 2 février 2016, la loi Claeys-Leonetti crée de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie. Les directives anticipées sont revalorisées, elles n’ont plus de condition de durée et elles deviennent contraignantes pour le médecin, sauf cas exceptionnel. Le rôle de la personne de confiance est lui aussi renforcé. La loi ouvre également la possibilité pour le patient de demander l’accès à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. L’accès à ce droit est encadré par des conditions très strictes : le patient doit souffrir de façon insupportable et son décès doit être reconnu comme inévitable et imminent. L’accès à la sédation profonde et continue jusqu’au décès est lui aussi conditionné par une discussion en procédure collégiale pour vérifier que la situation du patient rentre bien dans le cadre des conditions prévues par la loi.

https://sfap.org/system/files/2016_claeys_leonetti.pdf

https://www.parlons-fin-de-vie.fr/

directives anticipées.jpg
bottom of page